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sylvia

Almodovar Connection : Part 2

Almodovar Connection : Part 2

Entre Dijon et Paris Sylvia L'air chargé d'états secondaires colle à ma peau, mes bras, mes veines ; guimauve trop sucrée qui s'invite dans mes organes et les fait tourner au ralenti. Un peu partout dans le vieux hangar, des gens s'embrassent et se déshabillent...

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La colère, l'orage et l'acier

La colère, l'orage et l'acier

Dijon Sylvia Rentrer. Me doucher. Avaler un café, et retrouver tout le monde dans ce bar. Mouais, bof. Et si en fait, j'avais peur de la banalité qui revient ? De retrouver une vie normale ; je n'ai pas envie de m'accorder une trêve. Et merde, t'en as...

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Le retour fracassant d'Hélios

Le retour fracassant d'Hélios

Dijon Sylvia La chaleur s'est faufilée à l'intérieur de mon corps, j'ai la tête qui tourne et le cerveau ramolli. Le moindre de mes gestes me coûte un effort lourd de ces rayons qui me frappent le crâne sans pitié. Mais comment ai-je pu vivre si longtemps...

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F.

F.

Dijon Sylvia Es-tu encore celui que j'ai connu ? Tu combles ton silence en jouant avec ton verre. Mal à l'aise, tu manques plusieurs fois de le renverser. Tes yeux verts se font fuyants, et pour la première fois je te vois tel que tu es vraiment : un...

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Lendemain d'élections

Lendemain d'élections

Dijon Sylvia Dix-huit jours. Dix-huit jours que je fais tourner tous les matins et tous les soirs ces cachets entre mes doigts. Dix-huit jours que mes doigts tremblent un peu, et que je fais tomber, immanquablement, la pilule au sol. Un jour, sûrement,...

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Je suis la reine debout

Je suis la reine debout

Dijon Sylvia Boumboum, boumboum. Le coeur qui bat à s'en décrocher, serré contre les côtes, le squelette devenu trop petit pour contenir tout cela. La porte que l'on pousse, appréhension, qui grince un peu ; passerai-je le pas ? Seuil décisif qui marque...

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Beautiful Lulla

Beautiful Lulla

Dijon Sylvia Mes yeux se ferment sans que je ne m'en rende bien compte ; ils se laissent effleurer du bout des rayons chaleureux qui noient le campus. Ma tête retombe légèrement en arrière, et le monde disparaît. Ne subsiste que cette sensation de plénitude...

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