Je t'aime

Publié le par Mintaka

Dijon
Lola et Julian

Allongé sur toi, ma Lola. Ma bouche collée contre la tienne et mon bassin qui appuie à un rythme régulier contre le tien. La chaleur monte.
Je te revois danser, bouger ton corps sur la piste. Je retrouve soudain ces gestes en te sentant là, collé contre mon corps tout en mouvement. J'avais tellement besoin de sentir de nouveau tes lèvres dans mon cou.
Oui ma belle, c’est à mon tour de t’envoler maintenant. J’en suis capable moi aussi. J’aime ton corps fragile abandonné entre mes mains.
J'ai envie de m'abandonner à toi, de te montrer combien je suis tienne, combien je t'appartiens. Fait de moi ce que tu veux mon Dieu d'amour, aime moi, possède moi.
En es-tu sûre ? Je te déshabille. Tes pétales de tissus, ma fleur d’alizé, se froissent entre mes doigts et tombent autour de nous.
Je sens mon corps se contracter, se cambrer, à mesure que tu enlèves uns par uns mes vêtements. Tu prends ton temps, le temps de me découvrir, de me sentir. Je sens ton regard sur moi, j'aime quand tu me dévores des yeux pour mieux me manger tout crue ensuite.
Est-ce que je ne vais pas trop vite ? Ou trop lentement peut-être ? Puisse-je être parfait pour toi. Tu ouvres ma chemise et voilà que tes seins frottent contre mon torse.
J'aime la sensation de ma peau contre la tienne. J'aime te sentir frissonner. Je voudrais que tu arraches mes vêtements, que tu sois enfin contre moi, tellement près, qu'on ne fasse plus qu'un. Viens mon Amour, viens...
Je suis là. Nous voilà nus l’un contre l’autre. Peau contre peau. Nos corps enlacés qui ondulent et se tordent. Ma langue glisse de ton cou jusqu’à ta gorge et remonte ton sein jusqu’au téton.
Tu es tellement doux, tellement tendre. C'est si bon de me sentir sombrer dans les prémices du plaisir, du désir. J'avais envie de ça depuis tellement longtemps... Prends moi mon beau Dieu, je suis ton offrande, je suis à toi. Mon coeur, mon âme, mon corps. Je t'appartiens.
Comme tu es chaude, un vent du sud, doux et sec. Et si sexy. J’enfile un préservatif et voilà que j’entre en toi. Mon pénis se fraie un chemin dans ta chair et te pénètre. Nous ne formons plus qu’un.
Tu entres en moi et c'est comme un éclair qui traverse tout mon corps. Tu es enfin là, au plus près de moi. J'ai l'impression que tu peux lire en moi. Ma respiration se calque au rythme de la tienne, au rythme de tes vas et viens. Mes doigts se crispent sur ton dos, te griffent. Je voudrais que ce moment dure toujours.
Tu me sens bien là, hein ? La bête se réveille en moi. C’est le feu qui grandit et accélère mes va-et-vient. Tu la sens, hein…
C'est si bon... si bon... j'en veux encore mon Dieu, vient en moi. Plus fort, plus vite. Encore. Encore. Mes dents mordent ton cou puis je rejette ma tête en arrière, le plaisir me transcende.
Je me retire et te retourne comme une poupée de chiffon. Redresse-toi un peu, voilà, à quatre pattes, comme ça… et laisse moi rentrer en toi de plus belle.
Je sens ton corps derrière le mien, tes mains sur mon ventre, sur mes seins. Mes bras tremblent et supportent à peine mon poids. Mes doigts se crispent sur les draps. Je sens ta cadence s'accélérer, se faire plus dense, plus profonde, plus rapide... moi aussi je vais jouir mon beau Dieu...
Tu gémis de plus en plus fort Lola, ton souffle se saccade et le mien aussi. Soudain tu relèves la tête dans un gémissement plus fort que les autres et c’est une explosion dans ton vagin. Le sperme s’échappe de moi dans la poche de latex, par à-coups, autant de pulsation de plaisir pur.
Soudain mon corps se crispe en un éclair. Comme si ton éjaculation allait jusque dans mon coeur, jusque dans mes veines. Ton plaisir me transperce. Je sens un fourmillement me parcourir des pieds à la tête, mes jambes tremblent.
Tu te retires et je m'affaisse sur le lit, le souffle court, le front en sueur.
Tu viens poser doucement ta tête contre mon torse, entre mes seins. Mon cœur bat tellement fort, à exploser. J’ai presque peur qu’il t’assourdisse !
Je suis dans une sorte de nuage, de torpeur douce et cotonneuse.
Je me tourne et enfouis ma tête contre toi, tu me couvres avec la couverture et je m’endors tout contre ton corps encore moite.
Je murmure doucement un petit « Je t’aime »… avant de sombrer dans le sommeil.
 

Publié dans Lola

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A
Rien de plus à dire que dans le com que j'ai posté sur mon frag...
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S
Preuummmzz!!!!!!Mais qu'est ce qu'ils sont torrides ces deux là!!!!Oulalaaaa!!!!J'en ai la chair d'ampoule didonc...ouhhh!!!!C'est un peu plus "hard" que le précédent quand meme, mais ça reste dans la beauté et la délicatesse...Bon, faut arreter de me bluffer comme ça hein??? ;-)
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